Sélectionner une page
Gut Ding braucht Weile

Gut Ding braucht Weile

Eine Frau erzählte mir kürzlich von ihrem erstmaligen Versuch, selbst Brot zu backen. Eigentlich hatte sie kaum Zeit dafür. Doch sie hatte es sich in den Kopf gesetzt: Heute will ich mein eigenes Brot herstellen. In aller Schnelle suchte sie die Zutaten zusammen, erstellte den Teig – und ab damit in den Backofen.

Die Enttäuschung war gross, als sie später das gebackene Brot versuchte. Es schmeckte nach «gar nichts», einfach fad. In ihrer Ungeduld hatte sie sich nicht richtig konzentriert und das Wichtige dabei vergessen: Das Salz.

Geduld haben wir nötig. Das lehrt uns die Bibel. Durch Ungeduld ist vieles zerstört worden. Nicht nur materielle Werte können in Brüche gehen – auch Beziehungen leiden unter Ungeduld.

Deshalb: Lass Dir Zeit. Hab Geduld mit dir und deinen Mitmenschen. Überlege: Was ist dran in meinem Leben – heute? Morgen? In einem Monat? Sicher ist: Um zu erfahren, was Gott von Dir möchte, brauchst Du Geduld und Zeit. Schnelle Antworten entpuppen sich oft als schlechte Ratgeber.

Geduld aber habt ihr nötig, auf dass ihr den Willen Gottes tut und das Verheissene empfangt.

Hebräer 10,36 aus der Bibel

Passender Bibeltext:  Jakobus 5,7-11

Hast Du Fragen über Gott oder die Bibel?
Schreibe auf input@godloves.me  oder WhatsApp +4177 533 61 78

Une récolte tardive

Une récolte tardive

Sara, une fillette de dix ans, s’est montrée enthousiaste pour participer au concours du tournesol le plus haut. Elle a planté avec zèle trois graines dans un immense pot, les a arrosées régulièrement et attendu avec impatience de les voir germer. Laquelle de ces graines produira le tournesol le plus haut ? La fillette a observé son pot chaque jour, mais rien ne s’est passé. Après deux semaines, découragée et déçue, elle a abandonné sa plantation, et le concours a passé dans les oubliettes.

Une année plus tard, trois magnifiques tournesols s’élançaient vers le soleil de midi dans le pot abandonné. Les graines oubliées avaient donné trois grosses fleurs sur lesquelles les abeilles venaient récolter le nectar.

Ne négligeons pas de faire le bien, car nous moissonnerons au moment convenable, si nous ne nous relâchons pas.

Galates 6,9 de la Bible

Comme Sara, il nous arrive de chercher un effet immédiat à notre engagement. La Bible nous encourage à ne pas nous lasser de faire le bien. Alors courage, persévérons et n’abandonnons pas !

Texte de la semaine : Esaïe 55,10-11

Avez-vous des questions au sujet de Dieu et la Bible ? N’hésitez pas de nous écrire input@glm.ouryes.ch

Aufatmen bei Gott

Aufatmen bei Gott

Mühsam schleppt sich Werner ins Wohnzimmer. Gerade noch schafft er es, die Notrufnummer zu wählen. Er atmet tief und bekommt kaum noch Luft. Sein Eindruck ist, wie wenn eine schwere Last auf seine Brust drücken würde. Er teilt seine Symptome am Telefon mit. Die Helfer sind in wenigen Minuten bei ihm. Sauerstoff wird zugeführt – Er kann wieder aufatmen – und durchatmen. Zur weiteren Abklärung transportiert man ihn ins Krankenhaus, das er nach wenigen Tagen wieder verlassen kann.

Das Erlebnis hat ihn geprägt. Nicht atmen können, zu wenig Luft bekommen – zu fühlen – eine Last erdrückt mich fast.

«Weisst Du», schildert er seine Erfahrung: «Mir ist es zu einem Bild geworden. Wie oft schleppe ich Lasten mit mir herum? Ich lebe unversöhnlich, trage jemandem etwas nach, mache mir Sorgen.»

Uns allen gilt das Angebot von Jesus Christus: «Kommt alle her zu mir, die ihr euch abmüht – ich will euch entlasten». Probiere es, wage es. Bringe das, was Dich bedrückt, zu Jesus. Er nimmt Dir deine Last ab und macht dich frei.

Tipp: Was unterscheidet eigentlich Jesus Christus von allen andern religiösen Heilsbringern? Finde es selbst heraus auf GODtime.online «Religion oder Jesus Christus».

Passender Bibeltext: Matthäus 11,25-30

Hast Du Fragen über Gott oder die Bibel?
Schreibe auf input@godloves.me  oder WhatsApp +4177 533 61 78

Le véritable sens de la vie

Le véritable sens de la vie

La vie réserve de nombreux moments agréables, mais tôt ou tard, il y aura aussi d’autres phases. Dans ces tempêtes, il est important de disposer du bon équipement pour ne pas tomber dans un gouffre et être complètement désespéré.

C’est à l’âge de 32 ans qu’une véritable tempête a éclaté pour la première fois dans ma vie. Ma femme attendait notre premier enfant, nous étions tous les deux très heureux. Cependant, quelques semaines avant la naissance, j’ai soudainement eu du mal à me réjouir. Je souffrais de fortes douleurs. Dix jours après la naissance de notre enfant, à la suite de quelques erreurs de diagnostic, nous avons appris que j’avais une tumeur maligne grave. Tout s’est effondré autour de moi. De multiples pensées s’agitaient dans mon esprit. Je pensais à mon fils que je ne verrais jamais grandir. Je voyais mon épouse seule avec son enfant.

J’ai commencé à réfléchir au véritable sens de la vie. Je me suis posé les questions suivantes : « Pour qui ai-je vécu jusqu’à présent ? À qui ai-je consacré mon temps ? N’ai-je pas souvent pensé uniquement à moi? »

Je voyais soudain la nature d’un tout autre œil. Même un simple brin d’herbe me paraissait fantastique. J’ai commencé à apprécier les montagnes qui entourent le village natal de mon épouse, alors qu’auparavant, elles semblaient m’écraser. A partir de ce moment-là, chaque fois que je regardais les Alpes dans leur grandeur majestueuse, cela me rappelait un psaume de la Bible : «Je lève les yeux vers les montagnes, d’où vient mon secours ? Mon secours vient de l’Éternel, qui a fait les cieux et la terre ».»

Ces paroles ont été pour moi une source de réconfort.

Les traitements ont été très agressifs. Grâce à l’intervention de Dieu, la maladie a peu à peu reculé pour finalement disparaître complètement. Entre-temps, j’ai acquis une passion pour la montagne, ce qui aurait été inimaginable pour moi auparavant.

David Savino

À MOITIÉ PLEIN OU À MOITIÉ VIDE ?

À MOITIÉ PLEIN OU À MOITIÉ VIDE ?

Comme j’aurais aimé courir avec les autres enfants ! Impossible, mon corps était trop faible. Je me sentais donc mise à l’écart. Bien que beaucoup de choses aient changé au fil des ans, je ressens encore aujourd’hui la faiblesse de mon corps. C’est surtout lorsque mes meilleurs amis m’excluaient de certaines activités communes que je me sentais rejetée. Je comprenais toutefois leur crainte que ma santé fragile ne soit un obstacle pour faire du sport ou des randonnées en montagne avec eux. Cependant, le fait d’être « mise de côté » dans certaines circonstances m’a laissé de profondes blessures intérieures. Cela m’a conduit à une crise.

Une étude biblique sur la confiance en soi et le sentiment de sécurité m’a montré ma juste valeur. Une nouvelle certitude s’est éveillée en moi lorsque j’ai compris que je suis pleinement acceptée par Dieu et qu’il m’aime beaucoup. Ma relation avec Dieu beaucoup en a été approfondie. Je me suis rendu compte qu’il avait des pensées de paix sur ma vie pour me donner un avenir et de l’espoir. Il se peut que cette déclaration vous frappe comme un coup de poing en plein visage si vous êtes actuellement en révolte contre votre destin et contre un Dieu d’amour. Moi aussi, je connais parfaitement cette phase, et pendant des années, je me suis demandé : « Pourquoi moi, précisément ? »

Un jour, j’ai eu le courage de poser cette question à Dieu, après avoir lu dans la Bible comment Job et certains auteurs de psaumes ont présenté leur « pourquoi » à Dieu : « Seigneur, pourquoi cela m’arrive-t-il à moi ? » Je n’ai pas obtenu toutes les réponses à cette souffrance. Néanmoins, j’ai commencé à mieux comprendre les voies de Dieu, tout comme Job. C’est ainsi que j’ai peu à peu saisi que mes difficultés étaient limitées et éphémères. Avec l’aide de Dieu, de nouveaux horizons se sont ouverts à moi. J’ai appris à Le remercier pour la « coupe à moitié pleine » que Dieu lui-même m’a versée. J’ai cessé de pleurer sur la « coupe à moitié vide ».

Dès lors, ma consolation se trouve dans la parole de Dieu : «Je suis absolument certaine que tout ce que nous subissons maintenant n’est rien en comparaison de la gloire que nous connaîtrons un jour» (Romains 8,18).

Anni Schatzmann