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Peut-on cacher quelque chose à Dieu ?

Peut-on cacher quelque chose à Dieu ?

Je me trouve dans une librairie à la recherche de bonne littérature. Soudain, je découvre un porte-monnaie posé tout au fond d’un rayon et recouvert de plusieurs livres. Cette cachette montre qu’il a été mis intentionnellement à cet endroit.

En l’examinant, j’y découvre une quantité de cartes de crédit et de noms de clients, mais aucune trace d’argent. Avec les données que contiennent les cartes, il est néanmoins facile de retrouver le pro- priétaire.

Comme on pouvait le supposer, ce porte-monnaie a été volé quelque temps auparavant et tout l’argent liquide subtilisé. Mais pour quelle raison le voleur a-t-il caché cet objet dans une librairie ? Avait-il des remords ? Désirait-il que l’objet du vol soit découvert un jour ? Per- sonne ne le saura jamais…

Si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal.

1 Jean 1,9

Ce qui est sûr, c’est qu’il existe un centre d’élimination pour nos péchés et la culpabilité qui nous ronge. L’invitation est toujours d’actualité : Celui qui reconnaît ses fautes sera pardonné. Inutile de les cacher !

Texte de la semaine : 1 Jean 1,5-10

Das Gebet, das Gott hört

Das Gebet, das Gott hört

Jesus erzählte von einem Zöllner und einem Pharisäer, die im Tempel beteten. Der Pharisäer zählte vor Gott alle seine guten Taten auf. Am Schluss sagte er: «Danke, dass ich nicht so bin wie andere Leute… oder wie etwa dieser Zöllner da hinten.» Komplett anders betete der Zöllner, der in der Nähe des Eingangs stehen blieb und Gott um Vergebung bat, weil er wusste, dass er ein Sünder war.

Wie gut verstehen wir es, uns in den schönsten Farben bei Gott zu präsentieren und verachten den, der in unseren Augen weniger gut ist als wir. Solcher Stolz verhindert eine ehrliche Beziehung mit Gott. Der aufrichtige Zöllner hingegen, dem seine Sünde leid tat, fand Vergebung bei Gott!

Gott! Vergib mir, ich weiss, dass ich ein Sünder bin.

Lukas 18,13b

Fazit: Jesus verurteilt alle selbstgerechten Zuhörer, die auf andere herabsehen. Er will sie lehren, dass ihr Stolz den Weg zum Himmel versperrt. Wenn wir Gott aufrichtig begegnen, reden wir mit ihm über unsere Schuld. Wir bitten ihn um Vergebung und empfangen sie.

Reflektieren lernen ist entscheidend für die Beziehung mit Gott!

Wochentext Lukas 18,9-14 (Originaltext des Gleichnisses)

Was ist Wahrheit?

Was ist Wahrheit?

Jesus sollte zum Tod verurteilt werden. Trotz falscher Zeugenaussagen fand der römische Prokurator Pilatus keine Schuld an ihm und fragte Jesus: «Was ist Wahrheit?» Er nahm sich jedoch keine Zeit für die Antwort von Jesus; sondern eilte hinaus zu der tobenden Menge, die schrie: «Kreuzigt ihn!» Pilatus knickte unter dem massiven Druck der Juden ein. Er wusch voller Angst seine Hände in Unschuld und liess Jesus abführen. Anschliessend wurde Jesus mit einer Dornenkrone und einem Purpurmantel als König verkleidet, verhöhnt, bespuckt, verspottet, gegeisselt und gekreuzigt.

Ich bin dazu geboren und in die Welt gekommen, dass ich für die Wahrheit zeugen soll.

sagt Jesus in Johannes 18,37b

Pilatus war Jesus so nahe und trotzdem verpasste er «die Wahrheit». Wie vielen Menschen geht es heute ebenso? Jesus ist der Weg, die Wahrheit und das Leben (Johannes 14,6).

Die Wahrheit ist nicht eine Meinung, keine Ansicht, sondern eine Person! Jesus Christus, der Sohn Gottes!

Wollen Sie Jesus Ihr Leben anvertrauen?

Wochentext Johannes 18,35-19,42

Il ne suffit pas d’avoir des preuves

Il ne suffit pas d’avoir des preuves

Des personnes d’époques, de nations et de niveau social différents ont été témoins de la résurrection de Jésus. Elles ont fait des recherches pour en prouver la véracité. Environ 700 ans plus tôt, le prophète Ésaïe a mentionné des détails que Dieu lui avait révélés à ce sujet.

Le journaliste athée américain Lee Strobel présente dans un film sa recherche de la vérité. Il capitule devant Dieu sur la base des faits. Il affirme cependant que malgré toutes les preuves existantes, chacun doit décider personnellement ce qu’il va croire. Sans la foi, il est im- possible de vivre en relation avec Dieu.

L’ange dit: «Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où le Seigneur était couché.»

Matthieu 28,6

Nous pouvons l’ignorer ou la mépriser, mais la personne de Jésus reste incontournable. Christ est ressuscité. Il vit éternellement. Il reviendra. Nous nous tiendrons devant lui après notre parcours ter- restre. La question qu’il nous posera alors sera celle-ci : « Qu’as-tu fait de mon offre ? »

Que lui répondrez-vous ?


Texte de la semaine : Evangile de Matthieu 28,1-20

Y a-t-il de l’espoir ?

Y a-t-il de l’espoir ?

Avec la crucifixion, les Romains anéantissent tout espoir en ce Jésus, âgé d’environ 33 ans. Pourtant Jésus a guéri les malades et même fait revenir des personnes à la vie. Pourquoi l’ont-ils tué sans raison et sans scrupules? Deux hommes, en route pour Emmaüs, en discutent. Ils sont rejoints par un étranger qui ne cesse de leur poser des questions. Il ne semble pas être au courant des événements tragiques des derniers jours. Néanmoins, il leur enseigne que tout devait se passer comme l’ont prédit les Écritures. La discussion est animée au point qu’ils l’invitent à manger avec eux. Lorsque cet «étranger» dit une prière de reconnaissance et qu’il rompt le pain, ils reconnaissent Jésus, le ressuscité. Au même instant, il disparaît ! – «N’a-t-il pas touché nos cœurs par ses explications ?» se disent-ils.

Peu après, Jésus rencontre également les dix autres disciples, assis derrière des portes fermées.  «La paix soit avec vous !» leur dit-il. Il montre à ces hommes apeurés ses mains et ses pieds percés et il mange avec eux! Patiemment, il leur explique, à partir de la Parole de Dieu, qu’il est le Sauveur promis. Jésus, l’espérance, se tient réellement, concrètement, au milieu d’eux. Il est vivant, il est là ; cela peut être expérimenté, même aujourd’hui.

« Voyez mes mains et mes pieds, c’est bien moi ; touchez-moi et voyez : un esprit n’a ni chair ni os, comme vous voyez que j’ai. » Et en disant cela, il leur montra ses mains et ses pieds.

Luc 24, 39-40

De même que les disciples ont eu encore beaucoup à apprendre, de même nous aussi. Eux ont vu Jésus et ont vécu avec lui. Par la Bible nous pouvons apprendre à le connaître et si nous croyons en lui, nous pouvons expérimenter personnellement sa présence dans nos vies. Nous pouvons lui parler et réaliser comment il agit dans notre vie. Il nous offre précisément ce chemin de la foi et de la confiance. Ceux qui ont vu Jésus de leurs yeux n’ont pas tous cru. Peu importe donc que nous le voyions ou non. Avoir la foi signifie espérer sans voir encore. Nous avons le privilège d’évoluer vers une véritable relation avec lui.

Souhaitez-vous une relation personnelle pleine d’espérance avec Jésus ?

Passage biblique à approfondir: Luc 24, 13-49